« J’aime la vie, je fais du vélo, je vais au cinéma » est une chronique amusée et impertinente qui nous fait partager quelques mois de la vie des salles de cinéma indépendantes art et essai à la programmation exigeante. Le film parle de liberté, d’indépendance, des alternatives possibles aux multiplexes et à une normalisation programmée, du rôle des spectateurs dans un processus de résistance qui prend de l’ampleur et nous entraîne bien au delà du Cinématographe… « J’aime la vie, je fais du vélo, je vais au cinéma » nous fait voyager de Bordeaux et ses salles Utopia, à Bruxelles avec son magnifique cinéma Arenberg Galeries, puis du gigantesque Kinépolis belge, vers Pessac avec son Jean Eustache, et enfin à Mugron, petit village de la Chalosse landaise où naquit le Cinambule, un drôle de bus cinéma.
« J’aime la vie, je fais du vélo, je vais au cinéma » déborde d’histoires de femmes et d’hommes rêveurs d’images passionnés par le Cinéma d’expression qui trouve tout son sens dans ces moments de partage qu’est une séance de cinématographe….
